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Monaco : les temps forts d'un mariage empreint de tendresse
02 juillet 2011 - 21h50 par L.I. (avec agence)
Charlene a pleuré, Albert lui a fait des clins d'oeil, les tourtereaux se sont embrassés..., l'union religieuse du prince et de la princesse de Monaco était chargée en émotion, samedi. TF1 news vous raconte tout.
Larmes, baisers, robe de mariée somptueuse et VIP élégants..., tous les ingrédients d'un mariage religieux réussi étaient au rendez-vous de cette seconde journée de festivités monégasques. Le prince Albert et la princesse Charlene de Monaco se sont, en effet, dit "oui", samedi, devant 800 invités de marque et d'innombrables téléspectateurs, venus partager leur bonheur sur la Place du Palais Princier et dans la Cour d'honneur, devenue église d'un jour.
La sud-africaine de 33 ans, Charlene Wittstock, vêtue d'une robe Armani à la forme simple et près du corps, en soie blanc-cassé agrémentée de broderies, est arrivée au bras de son père, sous les yeux de milliers de Monégasques invités à assister à la cérémonie sur écrans géants. Le prince en uniforme de carabinier blanc l'attendait devant l'autel installé dans la Cour d'honneur du Palais, l'air détendu, lui prenant la main avant le début de la cérémonie et lui adressant des petits mots.
Le bisou, le bisou!
L'archevêque Mgr Bernard Barsi a invité le couple à se tenir la main et à échanger leurs consentements. Le prince a gratifié Charlene d'un clin d'œil, avant de dire "oui". L'échange des anneaux a donné lieu à une petite confusion qui a fait sourire les époux, Albert engageant la bague à la mauvaise main. Il s'est accompagné d'un chant traditionnel sud-africain qui amène la bonne fortune aux mariés. Son interprétation par la cantatrice Pumela Matshikiza a suscité un large sourire de Charlene et une vive émotion chez son père. Charlene a enfin soulevé son voile et les deux époux ont échangé un petit baiser.
Parmi les 800 invités, le roi des Belges, l'ex-tennisman Henri Leconte, le musicien Jean-Michel Jarre, l'épouse de l'ancien président Jacques Chirac, Bernadette Chirac, en robe de mousseline marine avec chapeau à plumes assorti. Le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy faisait aussi partie des personnes conviées, comme les présidents libanais, allemand, irlandais ou islandais, de même qu'une série de têtes couronnées, comme le prince Edward, fils cadet d'Elisabeth II.
Les larmes de Charlene
A l'issue de la cérémonie, les nouveaux mariés ont grimpé dans une voiture hybride décapotable pour aller à la rencontre de la foule et honorer la tradition monégasque du dépôt du bouquet de la mariée dans la chapelle Sainte-Dévote, la patronne de la principauté. Ce faisant, Charlene renouvelait le geste posé, cinquante-cinq ans auparavant, par la princesse Grace, la mère du prince Albert.
Dans l'église, Charlene de Monaco a fondu en larmes, extrêmement émue, en écoutant une mère et sa fille de 11 ans entonner un cantique à la Sainte Vierge. Si le mariage religieux venait d'inclure les prestations de grands solistes internationaux comme la soprano américaine Renée Fleming ou le ténor italien aveugle Andrea Bocelli, jusqu'au "oui" du consentement, la princesse n'avait versé aucuns pleurs. Albert, lui-même, avait du mal à contenir son émotion face à cette mère et sa fille. A la sortie de l'église, les mariés ont encore échangé un baiser, tandis que les Monégasques ovationnaient leur nouvelle princesse, devant dorénavant perpétuer une dynastie des Grimaldi vieille de 700 ans.a lire...
La sud-africaine de 33 ans, Charlene Wittstock, vêtue d'une robe Armani à la forme simple et près du corps, en soie blanc-cassé agrémentée de broderies, est arrivée au bras de son père, sous les yeux de milliers de Monégasques invités à assister à la cérémonie sur écrans géants. Le prince en uniforme de carabinier blanc l'attendait devant l'autel installé dans la Cour d'honneur du Palais, l'air détendu, lui prenant la main avant le début de la cérémonie et lui adressant des petits mots.
Le bisou, le bisou!
L'archevêque Mgr Bernard Barsi a invité le couple à se tenir la main et à échanger leurs consentements. Le prince a gratifié Charlene d'un clin d'œil, avant de dire "oui". L'échange des anneaux a donné lieu à une petite confusion qui a fait sourire les époux, Albert engageant la bague à la mauvaise main. Il s'est accompagné d'un chant traditionnel sud-africain qui amène la bonne fortune aux mariés. Son interprétation par la cantatrice Pumela Matshikiza a suscité un large sourire de Charlene et une vive émotion chez son père. Charlene a enfin soulevé son voile et les deux époux ont échangé un petit baiser.
Parmi les 800 invités, le roi des Belges, l'ex-tennisman Henri Leconte, le musicien Jean-Michel Jarre, l'épouse de l'ancien président Jacques Chirac, Bernadette Chirac, en robe de mousseline marine avec chapeau à plumes assorti. Le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy faisait aussi partie des personnes conviées, comme les présidents libanais, allemand, irlandais ou islandais, de même qu'une série de têtes couronnées, comme le prince Edward, fils cadet d'Elisabeth II.
Les larmes de Charlene
A l'issue de la cérémonie, les nouveaux mariés ont grimpé dans une voiture hybride décapotable pour aller à la rencontre de la foule et honorer la tradition monégasque du dépôt du bouquet de la mariée dans la chapelle Sainte-Dévote, la patronne de la principauté. Ce faisant, Charlene renouvelait le geste posé, cinquante-cinq ans auparavant, par la princesse Grace, la mère du prince Albert.
Dans l'église, Charlene de Monaco a fondu en larmes, extrêmement émue, en écoutant une mère et sa fille de 11 ans entonner un cantique à la Sainte Vierge. Si le mariage religieux venait d'inclure les prestations de grands solistes internationaux comme la soprano américaine Renée Fleming ou le ténor italien aveugle Andrea Bocelli, jusqu'au "oui" du consentement, la princesse n'avait versé aucuns pleurs. Albert, lui-même, avait du mal à contenir son émotion face à cette mère et sa fille. A la sortie de l'église, les mariés ont encore échangé un baiser, tandis que les Monégasques ovationnaient leur nouvelle princesse, devant dorénavant perpétuer une dynastie des Grimaldi vieille de 700 ans.a lire...
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