Dominique de Villepin, qui entend "bousculer le jeu politique" en France, dira s'il est candidat à l'élection présidentielle entre la fin de l'année et le début de l'année prochaine.
Les hypothèques judiciaires qui pesaient sur l'avenir politique de l'ancien Premier ministre de Jacques Chirac sont désormais levées. Sa relaxe dans l'affaire Clearstream est devenue définitive lundi, le parquet général ayant décidé de ne pas se pourvoir en cassation.
"Aujourd'hui, je suis déterminé à proposer une alternative aux Français, je suis déterminé à bousculer le jeu politique", a déclaré mardi Dominique de Villepin sur RMC Info et BFM TV.
"Le moment est venu de franchir une nouvelle étape", a-t-il souligné, ajoutant qu'une campagne présidentielle, "ce n'est jamais une revanche". Une allusion voilée à la rivalité, jadis acrimonieuse, avec le président Nicolas Sarkozy.
Dominique de Villepin s'est retiré lundi de la présidence de son parti, République solidaire, pour se consacrer "à la définition d'une politique de rassemblement national".
La question d'une éventuelle candidature à l'élection présidentielle reste en suspens.
"Je donnerai ma décision à la fin de l'année et au début de l'année prochaine, quand les Français seront dans le temps de la présidentielle", a-t-il annoncé mardi.
"J'ai pris ma décision dans ma tête et je l'annoncerai au début de l'année prochaine", a-t-il poursuivi. "J'ai une idée très claire de ce que je veux faire".
"Je pense qu'il est temps de changer la donne politique", a-t-il dit, appelant à la préparation d'un gouvernement de rassemblement national.
Prié de dire s'il pourrait se présenter aux élections législatives en 2012, Dominique de Villepin a été catégorique : "Non".
Les hypothèques judiciaires qui pesaient sur l'avenir politique de l'ancien Premier ministre de Jacques Chirac sont désormais levées. Sa relaxe dans l'affaire Clearstream est devenue définitive lundi, le parquet général ayant décidé de ne pas se pourvoir en cassation.
"Aujourd'hui, je suis déterminé à proposer une alternative aux Français, je suis déterminé à bousculer le jeu politique", a déclaré mardi Dominique de Villepin sur RMC Info et BFM TV.
"Le moment est venu de franchir une nouvelle étape", a-t-il souligné, ajoutant qu'une campagne présidentielle, "ce n'est jamais une revanche". Une allusion voilée à la rivalité, jadis acrimonieuse, avec le président Nicolas Sarkozy.
Dominique de Villepin s'est retiré lundi de la présidence de son parti, République solidaire, pour se consacrer "à la définition d'une politique de rassemblement national".
La question d'une éventuelle candidature à l'élection présidentielle reste en suspens.
"Je donnerai ma décision à la fin de l'année et au début de l'année prochaine, quand les Français seront dans le temps de la présidentielle", a-t-il annoncé mardi.
"J'ai pris ma décision dans ma tête et je l'annoncerai au début de l'année prochaine", a-t-il poursuivi. "J'ai une idée très claire de ce que je veux faire".
"Je pense qu'il est temps de changer la donne politique", a-t-il dit, appelant à la préparation d'un gouvernement de rassemblement national.
Prié de dire s'il pourrait se présenter aux élections législatives en 2012, Dominique de Villepin a été catégorique : "Non".
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