Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a qualifié dimanche de "scandale" l'absence de consensus au sein du Conseil de sécurité de l'Onu pour adopter une résolution condamnant la répression menée par le gouvernement syrien contre les opposants au président Bachar al Assad.
"Je pense que c'est un scandale de ne pas avoir une position claire de l'Onu face à une crise terrible", a déclaré le chef de la diplomatie française en visite en Australie.
Le ministre a fait ce commentaire en réponse à une question concernant l'opposition affichée par la Russie à un projet de résolution présenté le mois dernier pour imposer des sanctions contre Assad.
"Nous pensons que ce régime a perdu sa légitimité. Nous pensons qu'il est trop tard pour mettre en oeuvre un certain niveau de réformes. Nous devrions adopter à New York une résolution très claire condamnant la violence", a-t-il ajouté.
Les opposants syriens ont demandé la protection de la communauté internationale pour faire cesser les massacres de civils alors que se poursuit en Syrie la plus violente répression aux mouvements du "printemps arabe".
La France, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, l'Allemagne et le Portugal avaient présenté un projet de résolution demandant des sanctions contre le gouvernement de Bachar al Assad ainsi que contre ses proches et ses alliés.
"Je pense que c'est un scandale de ne pas avoir une position claire de l'Onu face à une crise terrible", a déclaré le chef de la diplomatie française en visite en Australie.
Le ministre a fait ce commentaire en réponse à une question concernant l'opposition affichée par la Russie à un projet de résolution présenté le mois dernier pour imposer des sanctions contre Assad.
"Nous pensons que ce régime a perdu sa légitimité. Nous pensons qu'il est trop tard pour mettre en oeuvre un certain niveau de réformes. Nous devrions adopter à New York une résolution très claire condamnant la violence", a-t-il ajouté.
Les opposants syriens ont demandé la protection de la communauté internationale pour faire cesser les massacres de civils alors que se poursuit en Syrie la plus violente répression aux mouvements du "printemps arabe".
La France, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, l'Allemagne et le Portugal avaient présenté un projet de résolution demandant des sanctions contre le gouvernement de Bachar al Assad ainsi que contre ses proches et ses alliés.
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