BNP Paribas n'a besoin ni d'une recapitalisation ni d'une aide de l'Etat en raison du choc boursier provoqué par la crise de la dette dans la zone euro, a déclaré mardi le président du conseil d'administration de la banque, Michel Pébereau, sur RTL.
"Nous sommes dans une situation dans laquelle, du fait des difficultés que rencontrent les Etats sur le plan de leur dette, il y a une répercussion en direction de l'ensemble des banques, mais ces banques se portent bien", a-t-il réaffirmé.
"Nous n'avons pas besoin aujourd'hui d'aides quelles qu'elles soient", a-t-il dit, précisant par la suite : "Nous n'avons actuellement aucun besoin d'être recapitalisés."
Michel Pébereau a aussi dit ne rien savoir concernant une information du Financial Times selon laquelle le conglomérat allemand Siemens aurait retiré 500 millions d'euros d'une banque française pour les transférer à la Banque centrale européenne.
"Je suis président de la banque, et par définition je ne suis pas au courant de ce qui se passe à ce niveau-là", a-t-il dit. "En tout état de cause, je n'en sais absolument rien."
Interrogé sur la situation en Grèce et en Italie, Michel Pébereau s'est efforcé d'apaiser les esprits.
Sur l'éventualité d'un défaut de paiement de la Grèce, pays où BNP Paribas est engagée à hauteur de 4 milliards d'euros, il a répondu : "Ce n'est pas l'avis des Etats et c'est eux qui ont la responsabilité de cette question."
Au sujet de l'Italie, dont l'agence Standard & Poor's vient d'abaisser les notes crédit et où BNP Paribas est présent à travers sa filiale BNL, il a déclaré : "L'Italie, naturellement, va faire face à sa dette (...) Le plan de redressement qui a été arrêté par le gouvernement italien et par le Parlement italien est un plan de redressement sérieux."
"Nous sommes dans une situation dans laquelle, du fait des difficultés que rencontrent les Etats sur le plan de leur dette, il y a une répercussion en direction de l'ensemble des banques, mais ces banques se portent bien", a-t-il réaffirmé.
"Nous n'avons pas besoin aujourd'hui d'aides quelles qu'elles soient", a-t-il dit, précisant par la suite : "Nous n'avons actuellement aucun besoin d'être recapitalisés."
Michel Pébereau a aussi dit ne rien savoir concernant une information du Financial Times selon laquelle le conglomérat allemand Siemens aurait retiré 500 millions d'euros d'une banque française pour les transférer à la Banque centrale européenne.
"Je suis président de la banque, et par définition je ne suis pas au courant de ce qui se passe à ce niveau-là", a-t-il dit. "En tout état de cause, je n'en sais absolument rien."
Interrogé sur la situation en Grèce et en Italie, Michel Pébereau s'est efforcé d'apaiser les esprits.
Sur l'éventualité d'un défaut de paiement de la Grèce, pays où BNP Paribas est engagée à hauteur de 4 milliards d'euros, il a répondu : "Ce n'est pas l'avis des Etats et c'est eux qui ont la responsabilité de cette question."
Au sujet de l'Italie, dont l'agence Standard & Poor's vient d'abaisser les notes crédit et où BNP Paribas est présent à travers sa filiale BNL, il a déclaré : "L'Italie, naturellement, va faire face à sa dette (...) Le plan de redressement qui a été arrêté par le gouvernement italien et par le Parlement italien est un plan de redressement sérieux."
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