Stress tests» des banques : la France s'en sort haut la main
Huit banques européennes ont échoué aux tests de résistance imposés à 91 banques du continent pour éprouver leur solidité en cas de choc économique. | Shaun Curry
Les banques françaises ont réussi les «stress tests» ou tests de résistance aux pires scénarios économiques, élaborés par l'Autorité bancaire européenne. En pleine crise de la zone euro, huit établissements européens sur 91 ont échoué, a annoncé vendredi à Londres l'autorité chargée de ces tests pour éprouver leur solidité en cas de choc économique.
Au total, cinq banques espagnoles, deux banques grecques et une banque autrichienne ont échoué. Elles ont besoin à elles seules d'au moins 2,5 milliards d'euros pour renforcer leur capital, a estimé l'Autorité bancaire européenne (EBA), dont le siège est à Londres.
En France, les groupes bancaires BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole et BPCE (fusion de la Banque Populaire et de la Caisse d'Epargne) ont donc tous passé l'épreuve avec brio, affichant des résultats bien au-delà de la moyenne exigée.Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, souligne d'ailleurs que toutes les hypothèses de stress retenues par l'EBA avaient été «particulièrement sévères» voire «durcies», simulant notamment une crise équivalente à deux années de récession. la suite...
Une neuvième banque, l'établissement régional allemand Helaba, a refusé pour sa part que ses résultats soient pris en compte après avoir contesté in extremis la méthodologie de l'exercice.
Au total, cinq banques espagnoles, deux banques grecques et une banque autrichienne ont échoué. Elles ont besoin à elles seules d'au moins 2,5 milliards d'euros pour renforcer leur capital, a estimé l'Autorité bancaire européenne (EBA), dont le siège est à Londres.
En France, les groupes bancaires BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole et BPCE (fusion de la Banque Populaire et de la Caisse d'Epargne) ont donc tous passé l'épreuve avec brio, affichant des résultats bien au-delà de la moyenne exigée.Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, souligne d'ailleurs que toutes les hypothèses de stress retenues par l'EBA avaient été «particulièrement sévères» voire «durcies», simulant notamment une crise équivalente à deux années de récession. la suite...
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