L'endettement français sera accru d'environ 15 milliards d'euros d'ici à 2014 en raison de la mise en oeuvre du plan d'aide à la Grèce conclu jeudi soir, a déclaré vendredi le Premier ministre François Fillon.
Cet accroissement de l'endettement pourrait mettre à mal l'objectif du gouvernement de commencer à faire baisser le ratio de dette publique de la France à partir de 2013.
"Ceci aura une conséquence indirecte, c'est une augmentation d'ici 2014 de notre niveau d'endettement, compte tenu de l'intégration des garanties, à hauteur d'environ 15 milliards d'euros", a dit François Fillon à l'issue d'une réunion avec les parlementaires de la majorité.
Le gouvernement prévoit que la dette publique continuera de progresser cette année et l'an prochain (85,4% fin 2011 et 86,9% fin 2012) et commencera à baisser en 2013 pour atteindre 86,4% fin 2013 et 84,8% fin 2014.
Les dirigeants de la zone euro ont mis sur pied jeudi un nouveau plan de soutien impliquant le secteur privé et réformant de manière spectaculaire le fonds de stabilité pour en faire un embryon de "Fonds monétaire européen".
Salué par les marchés, le nouveau plan grec, d'un montant total de 109 milliards d'euros, sera abondé par une participation des banques et assureurs européens dont le montant pourrait aller jusqu'à 50 milliards d'euros.la suite...
Cet accroissement de l'endettement pourrait mettre à mal l'objectif du gouvernement de commencer à faire baisser le ratio de dette publique de la France à partir de 2013.
"Ceci aura une conséquence indirecte, c'est une augmentation d'ici 2014 de notre niveau d'endettement, compte tenu de l'intégration des garanties, à hauteur d'environ 15 milliards d'euros", a dit François Fillon à l'issue d'une réunion avec les parlementaires de la majorité.
Le gouvernement prévoit que la dette publique continuera de progresser cette année et l'an prochain (85,4% fin 2011 et 86,9% fin 2012) et commencera à baisser en 2013 pour atteindre 86,4% fin 2013 et 84,8% fin 2014.
Les dirigeants de la zone euro ont mis sur pied jeudi un nouveau plan de soutien impliquant le secteur privé et réformant de manière spectaculaire le fonds de stabilité pour en faire un embryon de "Fonds monétaire européen".
Salué par les marchés, le nouveau plan grec, d'un montant total de 109 milliards d'euros, sera abondé par une participation des banques et assureurs européens dont le montant pourrait aller jusqu'à 50 milliards d'euros.la suite...
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