François Hollande souhaitait percer l’abcès au plus vite, son vœu a été exaucé. Hier après-midi, le candidat aux primaires du PS a été entendu à sa demande par les enquêteurs dans l’affaire Tristane Banon. Cité par Anne Mansouret comme l’un des responsables socialistes au courant dès 2003 de la présumée tentative de viol sur sa fille, l’ex-premier secrétaire redoutait la poursuite de ce mauvais feuilleton durant tout l’été.
Il a pu s’expliquer pendant une heure.
Se sentant visé, Copé a ironisé
« Je n’ai rien à voir avec cette affaire, qui concerne deux personnes mais en aucune façon le PS et son premier secrétaire de l’époque », a-t-il déclaré à sa sortie. Les soutiens du candidat ne cachent pas leur soulagement. « Parfait ! On va pouvoir mettre cette histoire derrière nous et sortir enfin du commentaire du commentaire », souffle Olivier Faure, l’un des ex-collaborateurs de la Rue de Solferino. Après l’audition, Hollande a aussi haussé le ton.la suite...
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