jeudi 15 mars 2012

Simone Gbagbo

Mme Simone Ehivet Gbagbo aurait été violée à plusieurs reprises après avoir subi des atouchements sexuels de la part des rebelles de ouattara... Comment l'onu et la france ont-ils pu se rendre aussi complice de crimes si crapuleux!!! Honte à la france de sarko pays dit des droits de l'homme et honte aux dirigeants de ce monde qui ont assisté et n'ont pas réagit face aux crimes des rebelles de ouattara aux yeux et au su des soldats onusiens et français présents sur les lieux

Read more »

mercredi 7 mars 2012

Immigration: Sarkozy jugé incohérent et humiliant à gauche

Nicolas Sarkozy a "humilié" des "millions de personnes" en marquant sa volonté de diviser par deux le nombre d'immigrés accueillis en France et d'imposer des conditions à l'attribution de prestations sociales aux étrangers, a estimé mercredi Daniel Cohn-Bendit, qui juge ce discours "dangereux".

Le candidat socialiste à l'élection présidentielle, François Hollande, a pour sa part estimé sur Europe 1 que le président sortant faisait montre d'"incohérence" lui qui, "hier souhaitait l'immigration économique" et "aujourd'hui veut la réduire".

Lors de l'émission "Des paroles et des actes", mardi soir sur France 2, Nicolas Sarkozy a marqué sa volonté de diviser par deux le nombre d'immigrés accueillis en France, "c'est-à-dire de passer de 180.000 (par an) aux alentours de 100.000".

Il propose de subordonner l'attribution du Revenu de solidarité active (RSA) et du minimum vieillesse à des étrangers à des conditions de présence sur le territoire et d'activité.

"J'ai mal dormi. Ce matin, je suis encore mal, parce qu'il m'a dit quelque chose en pleine figure : il m'a dit 'tu es un homme en trop', parce qu'il a dit qu'il y a trop d'étrangers sur le sol français", a commenté Daniel Cohn-Bendit sur Canal+.

"Quand en période de crise un homme dit une phrase comme ça, eh ben je souhaite que le plus rapidement possible il ne soit plus président de la République", a poursuivi l'eurodéputé de nationalité allemande.

"C'est dangereux. Dans une période de crise, les êtres humains sont anxieux, ils ont peur. Et ceux qui vont mal, ils cherchent des boucs-émissaires. Un président de la République responsable, un homme politique responsable, n'a pas le droit de dire 'il y a des personnes en trop'", a souligné l'élu d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV).

"CONTRE-VÉRITÉS"

"Ce qu'il a fait hier soir, c'était humiliant pour des millions de personnes", a ajouté Daniel Cohn-Bendit. "Il me fait froid dans le dos s'il gagne".

La première secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry, a parlé sur France 2 des "vieilles rengaines habituelles de la droite" : "les étrangers, les assistés qui ne travaillent pas".

Le souhait de Nicolas Sarkozy de diviser par deux le nombre d'immigrés accueillis en France est "une promesse qui sera sans lendemain", a-t-elle jugé, invoquant les conventions internationales auxquelles la France est liée.

Le président-candidat a dit également vouloir étendre aux candidats au mariage avec une Française ou un Français les conditions de revenus et de logement pour l'attribution d'un titre de séjour - conditions déjà(...)La suite.

Read more »

Que devient Ariel Sharon ?

L'ancien Premier ministre israélien, toujours dans le coma, se rappelle de loin en loin au bon souvenir de ses compatriotes.

C'est un quasi-rituel. Chaque année, au début du mois de janvier, les médias israéliens évoquent Ariel Sharon, l'ex-Premier ministre, plongé dans un coma profond depuis le 4 janvier 2006. Au début, avec force : télés, radios, presse écrite, tous accordaient une place importante au rappel de l'événement. État de santé détaillé du comateux le plus célèbre du pays, interviews de ses proches, de ses deux fils, de sa bru, d'anciens compagnons de route, sans oublier son chauffeur, Gilbert Cohen. Mais, à la longue, le silence imposé par son entourage et une actualité toujours fébrile ont fait leur oeuvre. Les médias se sont lassés et la plupart des Israéliens ont oublié celui qu'ils avaient tant aimé ! "Arik, roi d'Israël", n'est plus qu'un vieil homme de 83 ans, terrassé par un AVC dévastateur, alité quelque part dans la chambre d'un hôpital spécialisé de la banlieue de Tel-Aviv.

Pourtant, de loin en loin, le "vieux lion" se rappelle au bon souvenir du pays. D'abord, parce qu'il y a ses deux fils. L'aîné Omri, qui, tout récemment, a créé le buzz en reprenant du service en politique pour soutenir Tzipi Livni, la chef de l'opposition et présidente de Kadima, le parti créé par Ariel Sharon fin 2005 et dont les primaires auront lieu à la fin de ce mois. Omri Sharon a fait de la prison pour violation des lois sur les financements électoraux, falsification de documents et parjure. Des démêlés avec la justice qui ne sont pas terminés. Avec son frère cadet, Guilad, il fait l'objet d'une enquête dans une affaire de pots-de-vin.

Read more »

lundi 5 mars 2012

Manifestations contre Poutine en Russie, critiques en Occident

Plusieurs milliers de manifestants scandant "La Russie sans Poutine" sont descendus lundi soir dans les rues de Moscou et de Saint-Pétersbourg pour dénoncer la victoire de Vladimir Poutine la veille à l'élection présidentielle, dont la régularité est mise en doute par une partie de la communauté internationale.

Illustration de ces critiques émises dans les capitales occidentales après le retour annoncé de Vladimir Poutine au Kremlin, avec près de 64% des voix au premier tour, Alain Juppé, ministre français des Affaires étrangères, a jugé que "l'élection n'a pas été exemplaire, c'est le moins que l'on puisse dire".

A Moscou, où l'opposition dit avoir rassemblé 20.000 personnes sur la place Pouchkine - 14.000 selon la police -, la manifestation s'est d'abord déroulée dans une atmosphère joviale avant que la situation s'envenime lorsque des unités anti-émeutes sont intervenues pour disperser les derniers manifestants.

D'après des responsables de l'opposition, entre 500 et 1.000 personnes ont été interpellées, dont le blogueur nationaliste Alexeï Navalni, relâché trois heures plus tard. Navalni avait auparavant déclaré à la tribune: "Ils nous ont volés (...) Nous sommes le pouvoir !"

La police moscovite a annoncé elle avoir procédé à 250 interpellations.

A Saint-Pétersbourg, la ville natale de Poutine, un rassemblement non autorisé a mobilisé quelque 3.000 personnes, selon des témoins. La police locale a dit avoir interpellé au moins 300 manifestants.

"Hier, ce ne fut pas un vote. Hier, ce fut une falsification. Dites-moi, était-ce une élection?", a lancé Boris Nemtsov, chef de file de l'opposition libérale, à la foule réunie sur la place Pouchkine, jadis lieu de rassemblement des dissidents de l'époque soviétique.

"Ils ont peur de nous (...) mais nous n'avons pas peur de ces monstres", a-t-il poursuivi.

Plusieurs centaines de partisans de Vladimir Poutine ont pu pour leur part se rassembler plus près des murs rouges du Kremlin. Ils ont chanté, agité des drapeaux russes et scandé le nom de l'actuel Premier ministre.

WASHINGTON DEMANDE UNE ENQUÊTE

A 59 ans, Vladimir Poutine a passé quatre ans à la tête du gouvernement après avoir été empêché par la Constitution de se présenter à la précédente élection présidentielle à la suite de ses deux premiers mandats consécutifs (2000-2008). Il a cette fois été élu pour un mandat de six ans renouvelable une fois.

Avant les manifestations de lundi, les observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ont fait écho aux accusations de l'opposition.

"Le principe d'une élection est que le résultat ne doit pas être connu à l'avance. Cela n'a pas été le cas en Russie", a déclaré Tonino Picula, l'un de ces observateurs. "Selon notre évaluation, ces élections ont été déloyales."

Tiny Cox, autre observateur, a jugé que le scrutin s'était moins mal déroulé que les élections législatives du 4 décembre, remportées par le parti du pouvoir. "Nous n'avons pas assisté aux irrégularités que nous avons vues en décembre. Nous avons constaté bien moins de cas de bourrages d'urnes", a-t-il dit.

Les observateurs internationaux ont cependant dénoncé l'utilisation des médias et des ressources de l'Etat au bénéfice de Vladimir Poutine.

A Washington, le département d'Etat américain a pris acte de ces remarques et a exhorté la Russie à "mener une enquête indépendante et crédible au sujet de toutes les irrégularités électorales signalées".

L'Union européenne a adopté un ton similaire. L'OSCE et le Conseil de l'Europe "ont mis en lumière certaines défaillances à la fois dans la préparation et la tenue de cette élection", a dit à Bruxelles Maja Kocijancic, porte-parole de l'UE. "Globalement, nous partageons ces conclusions et nous encourageons la Russie à y répondre."

DÉSENCHANTEMENT

Dimanche soir, Vladimir Poutine a rejeté les accusations de fraude, qu'il a jugées "ridicules", et qualifié le scrutin d'"élection la plus propre de toute l'histoire de la Russie".

Dans les rangs des manifestations de lundi, des participants exprimaient leur désenchantement.

"Avant, j'adorais Poutine, comme n'importe quelle femme aime un homme charismatique. Mais maintenant, je pense qu'il devient sénile. Personne ne peut rester éternellement au pouvoir", a dit Vassilissa Maslova, 35 ans. "En votant hier, j'ai eu l'impression de devoir choisir les toilettes les moins sales d'une gare bondée."

Pour Sergueï Parkhomenko, l'un des organisateurs des manifestations, Vladimir Poutine rend la situation proche du "point de rupture". "Il nous a déclaré la guerre", dit-il.

L'ex et futur président a invité les candidats vaincus à des discussions mais le représentant du Parti communiste, Guennadi Ziouganov, arrivé lointain deuxième, a refusé cette invitation.

Dmitri Medvedev, qui restera au Kremlin jusque début mai, a pour sa part demandé lundi au procureur général d'examiner la légalité de 32 affaires judiciaires, dont celles de Mikhaïl Khodorkovski, ex-patron de la compagnie pétrolière Ioukos.

Condamné une première fois en 2005 pour fraude et évasion fiscales, Mikhaïl Khodorkovski aurait dû sortir de prison l'année dernière, mais une nouvelle peine lui a été infligée en 2010, cette fois pour blanchiment et détournements.

L'ancien oligarque, qui devrait rester derrière les barreaux jusqu'en 2016, se dit victime de responsables corrompus de l'entourage de Vladimir Poutine qui craignaient ses ambitions politiques et voulaient démembrer son empire énergétique.

Read more »

Shakira évoque sa relation avec Piqué


Peu habitué aux critiques, le défenseur central du FC Barcelone, Gerard Piqué (25 ans, 17 matchs et 1 but en Liga cette saison) a été pointé du doigt dernièrement pour ses performances en demi-teinte. Alors que la presse espagnole estime que sa relation avec Shakira n'est pas étrangère à sa baisse de régime, la célèbre chanteuse s'est exprimée sur leur relation.

"Il ne doit pas être facile d'être le partenaire d'une artiste ! (rires) La carrière de footballeur est difficile, car elle exige beaucoup de dévouement, de compromis, de discipline et de travail collectif. Moi, je n'ai de comptes à rendre à personne, sauf à moi-même. Mais un joueur de football, c'est comme un soldat", a-t-elle jugé lors d'une interview accordée au site officiel de la FIFA. "Il a énormément de responsabilités sur le terrain et en dehors. C'est pourquoi j'essaie de soutenir Gerard dans tous les domaines où c'est nécessaire", a ajouté Shakira.

Parmi ses responsabilités en dehors des terrains, Piqué est notamment impliqué avec sa compagne et le Barça, dans des programmes pour introduire le football dans des écoles où les enfants vivent dans une grande pauvreté.

Read more »

vendredi 2 mars 2012

Russie: répit nerveux à la veille de la présidentielle briguée par Poutine

La Russie attendait samedi dans un climat nerveux la présidentielle à l'occasion de laquelle l'actuel Premier ministre Vladimir Poutine compte revenir au Kremlin, malgré une fronde sans précédent contre son régime.

Le pays observait samedi une "journée du silence" conformément à la législation électorale qui interdit toute campagne la veille du vote.

Les derniers sondages, publiés fin février, créditent M. Poutine d'une probable victoire au premier tour, avec environ 60% des voix.

Mais l'opposition a tout fait pour mobiliser les électeurs et imposer un second tour à l'homme fort du pays, déjà président de 2000 à 2008 mais qui a vu sa popularité baisser.

Il est confronté à quatre candidats qui se sont efforcés de ne pas attaquer frontalement l'ex-agent du KGB, et aucun membre d'une opposition radicale à Vladimir Poutine n'a été autorisé à se présenter.

Dans un entretien à plusieurs médias étrangers publié vendredi, M. Poutine s'est d'ailleurs dit sûr d'avoir le soutien de la majorité, même dans les grandes villes et au sein de la classe moyenne qui a fourni les rangs de l'opposition. "Vous considérez que là-bas la majorité de la population est contre moi ? Dans quels sondages ? J'y ai simplement moins de partisans, mais (ceux-là) sont tout de même la majorité", a-t-il dit.

La coalition d'opposition qui organise depuis les législatives de décembre -- marquées selon elle par des fraudes massives -- des manifestations d'une ampleur sans précédent à Moscou depuis douze ans, a jugé que le scrutin ne pouvait être démocratique et prévoit un nouveau rassemblement dès le 5 mars dans le centre de la capitale russe.

La campagne électorale a été marquée, selon les observateurs de l'organisation russe Golos notamment, par l'emploi massif des ressources de l'Etat en faveur de M. Poutine, et une politique "d'intimidation" visant opposants et organisations désireuses d'observer le scrutin.

"La campagne s'est distinguée par l'abondance des tentatives de dénigrement, visant tant l'opposition que les candidats à la présidentielle", soulignait jeudi l'association dans un rapport.

L'actuel chef du gouvernement a accusé tour à tour les opposants d'être au service de l'Occident, de préparer eux-mêmes des fraudes électorales et même de vouloir assassiner l'un des leurs pour pouvoir en accuser le régime. Dans un discours offensif lors d'un rassemblement de ses partisans la semaine dernière, M. Poutine a placé l'enjeu de l'élection au niveau d'une nouvelle "bataille pour la Russie".

Elu une première fois à la présidence avec 53% des voix alors qu'il était chef de l'Etat par intérim à la suite de la démission de Boris Eltsine, il avait été réélu triomphalement en 2004 avec plus de 71% des suffrages.

La hausse rapide du niveau de vie, grâce à la montée des cours mondiaux du pétrole, et une politique perçue comme rétablissant la place du pays sur l'échiquier mondial, avaient nourri cette popularité, selon les sociologues.

Contraint de quitter le Kremlin en 2008 faute de pouvoir effectuer un troisième mandat consécutif, M. Poutine est resté l'homme fort du pays en prenant l'habit du Premier ministre et en propulsant à la présidence Dmitri Medvedev, un de ses subordonnés. Ce dernier s'est cependant effacé en faveur de son mentor et est appelé à devenir Premier ministre après la passation de pouvoirs prévue en mai.

Une réforme constitutionnelle a porté le mandat présidentiel de quatre à six ans, et M. Poutine peut théoriquement rester au pouvoir pour deux nouveaux mandats, soit jusqu'en 2024. "Je n'ai pas décidé encore", a-t-il expliqué dans l'interview diffusée vendredi, "ce serait normal, si tout se passe bien, si ça plaît aux gens".

De nombreux analystes relèvent néanmoins que si la victoire dimanche de M. Poutine semble acquise, son mandat risque de s'avérer plus difficile que les précédents. "Le mouvement de protestation déclenché après les législatives falsifiées de décembre ne menace pas encore l'emprise sur le pouvoir de Poutine, mais il est le symptôme d'une Russie de plus en plus instable", estime ainsi le Conseil européen pour la politique étrangère, un centre d'analyse proche de l'UE.

Quelque 109.000 millions d'électeurs sont appelés aux urnes. Les bureaux de vote russes ouvriront à 08H00 locale dimanche en Extrême orient russe (20H00 GMT samedi), et de premières estimations seront connues vers 21H00 (17H00 GMT dimanche) après la fermeture des dernières urnes à Kaliningrad (ouest).

Read more »

Repères. Russie. Election présidentielle

66 % C’est la part d’intentions de vote en faveur de Vladimir Poutine, selon l’institut indépendant Levada. L’ex-président en passe de redevenir Président est plus populaire que son parti. Sans les fraudes, Russie unie n’aurait eu, selon les experts, que 31 % ou 32 % des voix aux législatives de décembre au lieu des 49 % revendiqués par des résultats officiels.

«Des participants aux actions de protestation sont soumis à la pression et aux intimidations. [...] On organise une hystérie de masse en accusant des ONG et l’opposition de travailler pour des gouvernements étrangers.»

Rapport de l’ONG Golos publié hier.

Read more »

Edith Bouvier évacuée de Homs rejoint le Liban

Edith Bouvier est arrivée au Liban hier soir avec le photographe William Daniels. L’Elysée a confirmé tard dans la nuit que l’envoyée spéciale du Figaro blessée aux jambes à Homs avait pu quitter la Syrie. Elle a pu échapper à l’enfer de Homs abandonné par les rebelles syriens submergés par l’armée du régime. Elle sera rapatriée par un avion français. «Repli tactique», «redéploiement»… Les termes utilisés par l’opposition syrienne pour affirmer que «ce n’est pas une défaite» ne changent pas la réalité. Bab Amro est finalement tombé devant l’assaut des forces du régime de Bachar al-Assad. L’annonce, hier en début d’après midi, par l’Armée syrienne libre (ALS) de son retrait du quartier de Homs au vingt-septième jour de siège marque la fin d’une bataille emblématique. «Une bataille qui n’a pas commencé il y a quelques jours ou quelques semaines, mais qui dure depuis près de six mois», note un militant, qui a quitté depuis deux jours ce bastion de la résistance, d’abord pacifique puis armée.

Bain de sang. Sur les 40 000 habitants que comptait Bab Amro, 4 000 seulement seraient encore sur place, refusant de quitter leur maison. Selon l’ALS, c’est surtout pour leur épargner un bain de sang qu’elle aurait décidé de son retrait, probablement négocié avec les forces assaillantes composées de plus de 7 000 hommes.

Hier, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a annoncé que le régime de Damas l’autorisait à accéder au quartier de Homs, un feu vert qui permettrait de soulager la situation humanitaire dramatique. UL’évacuation des journalistes piégés à Bab Amro, où les militants les avaient accueillis dans un centre de presse, avait tourné au bras de fer entre le régime syrien et les forces d’opposition et attiré l’attention de l’opinion internationale. Selon des militants des comités de coordination locale, Edith Bouvier refusait de faire confiance au Croissant-Rouge syrien, trop proche du régime de Damas, pour partir de Homs .

Read more »