Les Bourses européennes ont terminé lundi en forte baisse sur les craintes d'un défaut de la Grèce et d'une contagion de la crise à l'Italie, la Bourse de Paris ayant sous-performé sous l'effet de la chute de ses valeurs bancaires.
L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 a reculé de 2,68% (24,54 points) à 890,98 points.
A Paris, l'indice CAC 40 a cédé 4,03% (119,78 points) à 2.854,81 points. La place parisienne a accru ses pertes après une explosion près du site nucléaire de Marcoule, dans le Gard.
Les valeurs bancaires ont accusé le coup, l'indice sectoriel européen des banques reculant de 4,56%, plombé par les banques françaises dont la note de crédit pourrait être dégradée par l'agence de notation Moody's.
BNP Paribas a accusé la plus forte baisse du CAC (-12,35%,) les investisseurs s'inquiétant de l'exposition de la banque à la dette italienne, malmenée sur le marché obligataire. Crédit agricole a cédé 10,64% tandis que Société générale, qui a tenté de rassurer le marché en annonçant notamment des réductions de coûts, a lâché 10,75%.
Les investisseurs s'inquiètent également de plus en plus d'un possible défaut de la Grèce et des dissensions politiques en Europe pour régler la crise de la dette, comme l'a illustré la démission vendredi de Jürgen Stark, membre du directoire et chef économiste de la Banque centrale européenne (BCE).
Signe de l'inquiétude grandissante des marchés sur la capacité des dirigeants européens à apporter des réponses crédibles à la crise de la dette souveraine, l'euro, qui avait plutôt résisté jusqu'ici, est tombé à un plus bas de sept mois, à 1,34949 dollar en séance et pourrait rester sous pression cette semaine selon des cambistes.
L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 a reculé de 2,68% (24,54 points) à 890,98 points.
A Paris, l'indice CAC 40 a cédé 4,03% (119,78 points) à 2.854,81 points. La place parisienne a accru ses pertes après une explosion près du site nucléaire de Marcoule, dans le Gard.
Les valeurs bancaires ont accusé le coup, l'indice sectoriel européen des banques reculant de 4,56%, plombé par les banques françaises dont la note de crédit pourrait être dégradée par l'agence de notation Moody's.
BNP Paribas a accusé la plus forte baisse du CAC (-12,35%,) les investisseurs s'inquiétant de l'exposition de la banque à la dette italienne, malmenée sur le marché obligataire. Crédit agricole a cédé 10,64% tandis que Société générale, qui a tenté de rassurer le marché en annonçant notamment des réductions de coûts, a lâché 10,75%.
Les investisseurs s'inquiètent également de plus en plus d'un possible défaut de la Grèce et des dissensions politiques en Europe pour régler la crise de la dette, comme l'a illustré la démission vendredi de Jürgen Stark, membre du directoire et chef économiste de la Banque centrale européenne (BCE).
Signe de l'inquiétude grandissante des marchés sur la capacité des dirigeants européens à apporter des réponses crédibles à la crise de la dette souveraine, l'euro, qui avait plutôt résisté jusqu'ici, est tombé à un plus bas de sept mois, à 1,34949 dollar en séance et pourrait rester sous pression cette semaine selon des cambistes.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire