Wall Street a clôturé en territoire négatif, à l'issue de la rencontre entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel sur la situation budgétaire européenne, jugée décevante par les investisseurs qui craignent une propagation de la crise en Europe.
La Bourse de New York a fini en baisse de 0,67%, mettant un terme à trois séances consécutives de hausse, l'indice Dow Jones des 30 industrielles cédant 76,97 points à 11.405,93 points.
Le S&P-500, plus large, a perdu 11,73 points, soit 0,97%, à 1.192,76 points. Le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 31,75 points (-1,24%) à 2.523,45 points.
Les deux dirigeants n'ont pas proposé d'augmenter le fonds de sauvetage européen ni de lancer des euro-obligations, des emprunts émis directement par l'Union européenne, comme l'espéraient les marchés.
Paris et Berlin ont en revanche proposé la création d'un gouvernement économique de la zone euro ainsi que l'adoption, par tous les pays de la monnaie unique, d'une "règle d'or" de bonne gestion de leurs finances publiques.
Les marchés ont également été plombés par l'annonce d'une quasi-stagnation de l'activité en Allemagne au deuxième trimestre, qui nourrit les inquiétudes autour d'un nouveau ralentissement de l'économie mondiale.
La confirmation de la note AAA des Etats-Unis par Fitch et des statistiques plutôt favorables pour la croissance américaine n'ont pas apporté de compensation suffisante pour repartir de l'avant.
En juillet, les mises en chantier aux Etats-Unis ont moins reculé que prévu pour faire face à la demande sur le marché de la location, tandis que la production industrielle a affiché une hausse supérieure aux attentes grâce au secteur automobile et à la consommation d'électricité.La suite d'infos...
La Bourse de New York a fini en baisse de 0,67%, mettant un terme à trois séances consécutives de hausse, l'indice Dow Jones des 30 industrielles cédant 76,97 points à 11.405,93 points.
Le S&P-500, plus large, a perdu 11,73 points, soit 0,97%, à 1.192,76 points. Le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 31,75 points (-1,24%) à 2.523,45 points.
Les deux dirigeants n'ont pas proposé d'augmenter le fonds de sauvetage européen ni de lancer des euro-obligations, des emprunts émis directement par l'Union européenne, comme l'espéraient les marchés.
Paris et Berlin ont en revanche proposé la création d'un gouvernement économique de la zone euro ainsi que l'adoption, par tous les pays de la monnaie unique, d'une "règle d'or" de bonne gestion de leurs finances publiques.
Les marchés ont également été plombés par l'annonce d'une quasi-stagnation de l'activité en Allemagne au deuxième trimestre, qui nourrit les inquiétudes autour d'un nouveau ralentissement de l'économie mondiale.
La confirmation de la note AAA des Etats-Unis par Fitch et des statistiques plutôt favorables pour la croissance américaine n'ont pas apporté de compensation suffisante pour repartir de l'avant.
En juillet, les mises en chantier aux Etats-Unis ont moins reculé que prévu pour faire face à la demande sur le marché de la location, tandis que la production industrielle a affiché une hausse supérieure aux attentes grâce au secteur automobile et à la consommation d'électricité.La suite d'infos...
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